tout à part demain : histoire d’une double fin

j’écrivais dans la précédente note : « c’est précaire, c’est fragile, c’est compliqué, et ça paraît si souvent absurde, mais c’est cet amour que j’ai choisi, ce chemin où nous sommes si souvent tentés de sauter dans la mer plutôt que de continuer à marcher dans le sable. ». c’était il y a moins d’un mois et depuis tu as décidé d’arrêter de marcher dans la sable et tu n’as pas seulement sauté dans la mer, non, tu m’y as jetée aussi, au milieu des rouleaux, le diaphragme coincé et du sel plein l’espoir. c’est fini. c’est comme ça.