la dernière fois, je parlais du dehors, je parlais de l’ouvert. ces questions occupent mon esprit. j’ai envie de trouver cet endroit où le dedans ne se distingue plus du dehors. j’ai envie de fondre le chemin dans sa verticale. je ne veux plus connaître la différence entre le visible et l’invisible. je veux ne jamais l’avoir connue.